Bruna Basini fait l’éloge dans le journal Les Echos des Grands Buffets « Champions du buffet haut de gamme … devenu le restaurant de tous les superlatifs »
Elle y revient notamment sur le rôle d’innovateur social des Grands Buffets :
« Dès les années 1990,Louis Privat déploie une politique avant-gardiste. Il s’attaque d’abord au surendettement, en accordant des prêts sans intérêt à ses collaborateurs en difficulté. « C’est la mesure dont je suis le plus fier », assure-t-il. Suivront la mise en place d’un plan d’intéressement en 1992 et les 35 heures en 1998. L’entreprise se targue aussi de ne recruter qu’en CDI et d’offrir des salaires mensuels minimaux de 2.000euros nets, d’avoir versé 100% des salaires pendant la crise du Covid et augmenté de 30 % le pouvoir d’achat de ses salariés en 2022 grâce à l’intéressement. « C’était le moment idéal pour arrêter la maltraitance économique des
travailleurs de la restauration »,estime Louis Privat, qui compense en augmentant de 30 %le prix de ses menus. Dernière innovation sociale : depuis le
1er mai 2025,les maîtres d’hôtel et les chefs de rang des Grands Buffets travaillent 3,5 jours par semaine pour 3,5 jours de repos, sans baisse de rémunération. »
…et sur l’aspect locomotive économique de l’établissement :
« A lui seul, l’établissement, devenu un lieu de destination, génère des visites de 2,5 jours sur le territoire. Si 30 %de la clientèle vient d’Occitanie, 56 % arrive du reste de la France et 14% de l’étranger. Des flux de visiteurs qui se soldent en nuitées d’hôtel et d’hébergement et qui profitent au reste de l’écosystème, des restaurants locaux aux Halles et commerces de Narbonne. »